Selon la gynécologue, je m’écoutais trop
Je n’aurais jamais pu accoucher naturellement du fait d’une malformation de mon col. Une simple IRM aurait pu éviter cela. Un examen qui m’a
Je n’aurais jamais pu accoucher naturellement du fait d’une malformation de mon col. Une simple IRM aurait pu éviter cela. Un examen qui m’a
J’étais très jeune lors de mon premier accouchement (19 ans). L’équipe m’a bien signifié dès mon arrivée que c’était n’importe quoi, et que j’étais trop
Elle m’examine. Sort son téléphone. Prend une photo de la zone concernée : mon sexe. Ses mots : « je sais que c’est pas glamour
Le poids estimé est surévalué, et je suis déclenchée 3 semaines en avance, malgré quelques réticences de ma part.
Le déclenchement est programmé depuis
Encore aujourd’hui, la relation entre mes 2 accouchements et mes deux enfants et moi sont différentes : j’ai encore du mal, malgré un suivi psychologique,
Parfois, certains témoignages sont très court. On imagine une volonté simple et directe de dénoncer un fait qui a eu lieu.
Lors de mon 1er et seul accouchement, les sages-femmes ou infirmières présentes ont laissé en moi 2 compresses au fond de mon utérus.
J’ai accouché en juillet 2015 à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Cet accouchement a été extrêmement difficile, et j’ai subi différentes maltraitances psychologiques à différentes étapes de
Puis j’ai subi une épisiotomie sans en être informée, et la sortie de mon bébé aux spatules a été très violente.
Article de Paroles de Mamans – Cette mère raconte son accouchement cauchemardesque