
« pas de jérémiades on passe par voie vaginale »
Il a dit « mademoiselle à 20 ans vous êtes adulte alors pas de jérémiades on passe par voie vaginale allez ». Alors j’ai fait ce qu’il a dit parce que c’était un homme adulte et qu’il m’engueulait.
Il a dit « mademoiselle à 20 ans vous êtes adulte alors pas de jérémiades on passe par voie vaginale allez ». Alors j’ai fait ce qu’il a dit parce que c’était un homme adulte et qu’il m’engueulait.
Je suis tombée sur la mauvaise sage-femme, connue pour faire accoucher les femmes le plus vite possible, sur le dos, les pieds dans les étriers, qui ne respecte pas le projet de naissance…
Allongée sur le dos en position gynécologique, lors de la phase d’expulsion, la première lame a rasé, et quand cette « sage »-femme l’a sortie j’ai bondi et dis « NON!! » croyant qu’elle allait couper.
Encore aujourd’hui, la relation entre mes 2 accouchements et mes deux enfants et moi sont différentes : j’ai encore du mal, malgré un suivi psychologique, à me sentir proche de ma fille aînée…
J’ai témoigné dans le livre noir de la gynécologie. Un déclenchement abusif a entrainé une grave hémorragie de la délivrance. Expression utérine, révision, décollement des membranes… et autres actes non consentis.
La responsable est arrivé 5 min plus tard. Scandalisée par le fait que j’ai accouché en position accroupie, elle s’est énervée, a même dit « on n’est pas en Afrique ici », avant de m’appuyer violemment sur le ventre pendant plusieurs secondes.
J’ai consulté cette gynécologue dans le cadre de mon suivi. Je ne la connaissais pas. J’avais pris RDV avec une femme car j’avais eu de mauvaises expériences avec des gynécologues hommes.
J’ai consulté ce gynécologue sur les conseils d’une amie. Premier contact avec le secrétariat auquel je demande si ce médecin pose des DIU Cuivre aux nullipares. La réponse est donnée de façon assez agressive, on ne peut pas me répondre c’est le médecin qui décide.
L’obstétricien tire sur le cordon ombilical avec insistance. Jusqu’à ce qu’un morceau de placenta sorte. Oui, juste un morceau. Il faut donc aller chercher le reste. Et là, il entreprend tout de suite une révision utérine… à vif.
Échographie du 2e trimestre, le gynécologue passe de l’écho standard à une échographie vaginale sans me prévenir. Après avoir bien trifouillé dans mon vagin, il m’annonce que le bébé est mal placé.