Le 13 février 2014, à 39SA le travail s’est mis en route pour notre fille vers 7h du matin. Vers 9h30 nous nous rendons à la maternité du CHU de Grenoble car les contractions intenses annonçaient un travail bien commencé.
Je me suis rendue à la maternité pour un déclenchement au j+5, mon bébé en macrosomie. La pose du tampon de Propess était à 11h. J’ai commencé à avoir des contractions douloureuses à 17h, mais beaucoup trop rapprochées…
Épisiotomie non consentie (imposée avec la menace : “vous ne voulez pas une césarienne, n’est-ce pas ?” “Vos poussées ne sont pas efficaces”, “votre bébé va moins bien là”)
….décision d’arrêter ma grossesse par césarienne prise sur un coup de nerfs de la gynéco lors d’une consultation de suivi à 32sa… je passe les violences verbales…
Je suis arrivée le 1er décembre 2019 après avoir rompu la poche des eaux mais sans contraction. J’ai discuté longuement de mon projet de naissance avec les sages-femmes qui m’ont assuré qu’elles le respecteraient.
Le gynécologue est entré il ne m’a jamais adressé la parole ni pour se présenter ni pour me prévenir des occultations ni pour l’épisiotomie ni pour la pose des forceps…
Je devais accoucher à domicile mais ma fille étant coincé la tête presque dehors (on voyait ses cheveux) depuis 3h de poussées, nous sommes allés à l’hôpital. Le gynécologue m’a examiné sans mon accord pendant une contraction.
Tout ce qu’il a fait est calculer mon IMC pour me dire qu’il fallait que je perde du poids pour vivre une grossesse plus facile le jour où je serais enceinte.
Le jour J est enfin arrivé, je passe les longues heures à la maison avec contractions etc. J’arrive en salle de travail, seule, mon mari devant attendre à la maison le feu vert..Vient le moment où je dois commencer à pousser, j’ai du mal à me réguler, je suis fatiguée, stressée.
La veille de mon accouchement, la poche des eaux s’est rompue avec du sang vers 21h30-22h.
