Menace d’utilisation des forceps par la gynécologue si je ne poussais pas assez fort, épisiotomie non consentie, même pas prévenue et recousue avec le point du mari par la sage-femme, expression abdominale par l’aide-soignante, interdiction de bouger pendant le travail, injection d’une grosse dose dans la péridurale par l’anesthésiste sans prévenir pour que je lui foute la paix.